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Messages : 183 Date d'inscription : 20/04/2013 Race : Code Administratif Localisation : CyberEspace | | Λ New York New York est une lune de la planète York. Elle est suffisamment vaste et propice à la vie pour être habitable. En revanche, la pesanteur est de 0.15 g (six fois moins que sur terre !). Ce qui a permis la création d'une industrie florissante.
Le système a la particularité de se trouver suffisamment proche d'une nébuleuse principalement composée d'oxygène, responsable de sa couleur verte. Les nébuleuses riches en oxygène possèdent de jeunes étoiles très chaudes, suffisamment pour avoir étendu la zone habitable du système jusqu'à la planète York et sa lune.
Contrairement à York, New york est beaucoup moins hostile à la vie, la lune possède des vents faibles et son eau est pure. C'est son manque de place, qui a interdit une colonisation massive. Elle a longtemps été utilisée comme entrepôt de construction de vaisseaux d'exceptions, les plus sophistiqués de la Fédération, par les Yorkiens. Mais avec le temps, des habitations ont vu le jour pour augmenter la productivité et la simplicité des transports. Des petites villes stations se sont créées. Jusqu'au jour où New York finit par prendre son indépendance vis à vis de York, après son âge d'or.
New York est le dernier bastion du savoir-faire antique de York. La lune de york est un astroport réputé dans la réparation et production d'engins spatiaux et de V.P.P. Les commandes sont moins nombreuses que dans le temps, mais suffisantes en qualité pour assurer l'économie de ce micro-monde. La petite particularité de cette planète réside dans ses habitants très autarciques qui se refusent à faire appel à de la main d’œuvre étrangère, seul moyen trouvé pour ne pas faire faillite en même temps que York. Par conséquent le savoir-faire se transmet de pères en fils et ils possèdent le titre d'artisans spatiaux.
Les New-yorkais sont xénophobes et n'acceptent que très peu d'étrangers, sauf pour commercer. Il y a longtemps eu des tensions entre les Yorkiens et les New-yorkais proche de la guerre civile, jusqu'à ce que le Panarque tranche en autorisant New York a fermer ses frontières et ses communications avec York.
"Chacun chez soi, et les vaisseaux seront bien gardés" est une maxime typiquement New-yorkaise.
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